La Suisse a récemment mis en lumière les pratiques de Temu, une plateforme chinoise de vente en ligne, accusée de concurrence déloyale. Après des plaintes répétées des commerçants locaux, le Secrétariat d’État à l’économie a convoqué les responsables de l’entreprise pour une rencontre à Berne.
Ces derniers se retrouvent confrontés à des allégations sérieuses, notamment des stratégies de tarification agressives et des affirmations commerciales trompeuses. La réunion à Berne pourrait marquer un tournant pour Temu et ses activités en Suisse, mettant en jeu des enjeux majeurs pour le marché local et les droits des consommateurs. La confrontation s’annonce tendue.
Une rencontre décisive au Secrétariat d’État à l’économie
Le début de septembre a marqué une étape significative lorsque le Secrétariat d’État à l’économie (Seco) a organisé une rencontre avec les représentants de Temu. Cette initiative faisait suite à diverses plaintes des commerçants suisses qui dénonçaient les pratiques commerciales de la plateforme. L’objectif principal était d’engager des discussions formelles pour examiner la conformité de Temu avec la législation suisse. Un accent particulier a été mis sur la transparence et le respect des normes établies pour protéger les acteurs économiques locaux.
“Nous insistons sur le respect strict des règles du commerce en Suisse, afin de maintenir un environnement compétitif et juste pour tous.”
Porte-parole du Seco
Les accusations portées contre Temu
Temu se trouve sous le feu des critiques en raison d’accusations de concurrence déloyale. Les entreprises locales s’inquiètent particulièrement des fausses remises et des publicités trompeuses qui pourraient induire les consommateurs en erreur. Par ailleurs, il est reproché à la société de fixer ses prix de revient de manière à sous-coter ses concurrents, une stratégie considérée comme préjudiciable au principe du commerce équitable. Ces pratiques ont soulevé une vague de mécontentement parmi les détaillants suisses, qui réclament une intervention pour rétablir l’équilibre du marché.
Les répercussions juridiques et les défis à surmonter
La situation actuelle implique des actions légales complexes alors que Temu ne possède pas de présence en Suisse officielle, ce qui complexifie l’application directe des lois locales. La base juridique s’appuie principalement sur la législation contre la concurrence déloyale, mais la question demeure quant à son application efficace dans un cadre transnational.
Les compétences du Seco sont mises à l’épreuve avec ce cas, car il illustre les difficultés rencontrées dans la gestion des litiges internationaux. L’absence de représentation directe de Temu en Suisse rend la tâche ardue pour le Seco, qui doit évoluer entre les exigences nationales et les limitations imposées par les accords internationaux.
La réaction de Temu face aux exigences suisses
En réponse, Temu a initié des négociations en cours avec le gouvernement suisse, démontrant sa volonté de parvenir à une adaptation réglementaire. Ces discussions visent à aligner les pratiques de Temu avec les normes suisses tout en respectant les contraintes du commerce international.
La stratégie de défense de Temu repose sur une révision de ses opérations pour garantir une conformité aux normes suisses. Cela pourrait inclure des modifications dans leurs méthodes de marketing et de vente pour éviter toute future accusation de concurrence déloyale ou de pratiques commerciales non conformes.
Les implications pour le marché suisse et les consommateurs
La procédure engagée contre Temu par le Secrétariat d’État à l’économie suisse pourrait redéfinir les normes de transparence du marché. Cette démarche vise à assurer que toutes les entreprises opérant en Suisse, y compris les géants étrangers du commerce électronique, adhèrent à des pratiques commerciales équitables. L’objectif est de préserver un environnement commercial juste pour les acteurs locaux et internationaux, ce qui pourrait stabiliser le marché suisse à long terme.
Du côté des consommateurs, cette situation pourrait renforcer la protection du consommateur en imposant une surveillance accrue sur les produits et services offerts en Suisse. Une meilleure régulation aiderait à prévenir les pratiques déloyales et à maintenir un niveau élevé de satisfaction clientèle. Une surveillance du marché effective peut jouer un rôle clé dans la protection contre les abus potentiellement perpétrés par des entreprises étrangères profitant des lacunes réglementaires.
Je ne comprends pas pourquoi on laisse Temu continuer ses activités alors qu’ils ne respectent pas les règles en Suisse. Ça me semble injuste pour les commerçants locaux qui doivent suivre des lois strictes. On devrait interdire ce genre de pratiques avant que ça ne devienne un vrai problème pour notre économie.
On a le me problème en France ,mais on semble lamentablement fermer les yeux , idem au niveau de ‘U E
Avec TEMU , il y a aussi moins d’intermédiaires qui habituellement s’enrichissent sur notre dos.
C’est presque s’adresser directement aux producteurs.
A bon ! Vous croyez au père noël!
Oh là là, quelle surprise ! Une entreprise qui fait de la concurrence déloyale… Qui aurait cru ? Heureusement qu’on a des réunions à Berne pour régler tout ça d’un coup de baguette magique. Les petits commerçants peuvent dormir tranquilles maintenant.
C’est compliqué d’imposer des lois à une entreprise qui n’a même pas de bureau en Suisse. C’est difficile à appliquer dans un cadre international.
Ah oui, parce que c’est sûr que Temu va totalement arrêter ses ‘fausses remises’ après une petite réunion en Suisse… Ils vont juste changer l’emballage, mais le contenu sera le même. Bravo pour cette grande avancée.
Je pense qu’il est important pour les consommateurs suisses d’avoir plus de protection contre ces grandes plateformes qui peuvent abuser du système.
Je pense que Temu fait ce que toutes les grandes entreprises font. Pourquoi est-ce qu’on les vise spécifiquement?
Les prix trop bas, ça ne peut pas être normal. Les petites entreprises suisses souffrent à cause de ça.
Je suis completement en accord avec le Principe de la Suisse a réglementé le commerce. Il on interet aller faire sa tres….tres vite. Nous en france on a deja perdu. J suis commerçante dans le bazar et bijoux. J ai fermer mon commerce il y a 6 an. Au cause de ses nouveau temu shein et ect… J suis au chômage depuis. Car j ai 40ans. Et j nai fait que sa tte ma vie. J voudrais vivre de mon metier. Mes ses plus possible en france. On me dit de trouver un aute travail… Retabliser les lois en france qui regule le commerve international…
Et j ne plaindrez plus…..
Donc, si je comprends bien, on va demander poliment à une entreprise chinoise de respecter nos lois… Oui, je suis sûre qu’ils vont s’empresser d’obéir. Quelle stratégie brillante !
Ah oui, parce que c’est vrai qu’on avait trop besoin de Temu pour venir « sauver » le marché suisse. C’est pas comme si les commerçants locaux n’avaient déjà assez de problèmes, hein.
Temu devrait respecter les lois du pays où ils vendent, sinon ce n’est pas juste pour les autres commerçants.
Je trouve que c’est une bonne chose que la Suisse prenne des mesures contre Temu. Ils doivent respecter les règles comme tout le monde.
Je suis d’accord avec l’idée de protéger le marché local, mais il ne faut pas non plus bloquer l’innovation et la concurrence.
Je ne comprends pas pourquoi Temu n’est pas déjà surveillé de près. Si c’est de la concurrence déloyale, il faut agir vite!
Ah oui, parce que c’est sûr qu’un petit rendez-vous à Berne va faire trembler une plateforme géante comme Temu. Ils doivent être terrifiés, vraiment.
Mais pourquoi ils s’en prennent toujours aux entreprises étrangères? Les autres plateformes font la même chose et personne ne dit rien!