À quoi sert un transformeur génératif pré-entraîné et comment il produit du texte ?

Par Yvan Arnoux

Des systèmes répondent, résument et écrivent avec une fluidité troublante, comme s’ils devinaient. Ce fonctionnement repose sur un modèle de langage et sur la génération de texte apprise pour prédire le prochain token par probabilité.

Pourquoi un mot arrive-t-il après l’autre, avec cohérence, parfois même avec style ? La mécanique combine l’auto‑attention et des techniques d’apprentissage profond pour pondérer chaque token selon le contexte, puis choisir la suite la plus plausible.

Définition opérationnelle d’un transformeur génératif pré-entraîné

Un transformeur génératif pré‑entraîné apprend à prolonger du texte à partir d’un grand corpus. Sous le capot, il s’appuie sur une architecture Transformer et sur un modèle autorégressif pour produire une suite linguistique cohérente. Chaque sortie dépend du contexte accumulé.

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Durant l’entraînement, l’optimisation cible une tâche simple mais puissante. La perte mesure la qualité de la prédiction du prochain token, ce qui généralise ensuite à de nombreuses tâches textuelles, y compris sur des LLM open source adaptés à vos données. Vous obtenez un modèle capable de résumer, traduire ou raisonner par chaînes d’étapes, sans changements spécifiques à chaque tâche.

De la saisie au texte : déroulé pas à pas de la génération

Vous fournissez un prompt, le modèle prépare des représentations et démarre la prédiction token par token. L’inférence suit une chaîne de traitement ordonnée qui relie encodage, attention et sortie. À chaque pas, les signaux précédents guident l’algorithme grâce au contexte linguistique appris durant l’entraînement massif.

Le prochain token est choisi d’après une probabilité conditionnelle mise à jour à chaque ajout. La sortie finale est pilotée par une stratégie de décodage adaptée au besoin. Pour visualiser le flux, voici un résumé compact :

  • Nettoyer et normaliser la requête
  • Propager l’attention et estimer les scores
  • Décoder, vérifier l’arrêt, itérer
À retenir : la latence par token varie souvent de 10 à 50 ms sur un GPU récent, selon la taille du modèle et la fenêtre de contexte.

Tokenisation, séquences de tokens et masque causal

Le texte est découpé en sous‑unités robustes via un schéma de type BPE byte‑level, ce qui limite les inconnus et gère correctement accents, chiffres et emojis. Chaque token reçoit un identifiant et un embedding, puis la séquence ordonnée passe au bloc d’attention auto‑régressive.

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Un masque causal bloque les positions futures pour préserver la génération pas à pas. La fenêtre de contexte borne la quantité d’historique accessible, influence la cohérence de longue portée et conditionne la mémoire vidéo requise lors de l’inférence sur GPU.

Calcul des probabilités et décodage mot à mot

Les représentations sont projetées sur le vocabulaire et normalisées par une fonction softmax qui transforme les logits en probabilités. Le choix du prochain token s’effectue par échantillonnage dans une distribution multinomiale ou par sélection déterministe, puis le processus recommence avec la séquence augmentée.

Stratégies de sortie : greedy, beam search, nucleus et température

Greedy produit un chemin unique, tandis que beam explore plusieurs pistes avec réévaluation itérative. Le nucleus applique un seuil dynamique via le top‑p sampling, et la température règle l’aléa. Divers réglages assurent un contrôle de diversité fin, limitant répétitions et dérives stylistiques selon l’usage visé.

Mécanisme d’auto‑attention et matrices Q‑K‑V

Chaque tête d’attention calcule quelles relations entre tokens méritent d’être prises en compte. Pour y parvenir, les vecteurs sont projetés en matrices de requêtes, clés et valeurs, puis comparés pour produire des scores d’attention normalisés par Softmax. La multi‑head attention répartit ce calcul sur plusieurs sous‑espaces afin de capter dépendances locales et lointaines.

Les sorties pondérées se combinent, sont additionnées par tête et passent par un réseau feed‑forward. Des connexions résiduelles et la normalisation LayerNorm stabilisent l’échelle des activations avant la couche suivante. Résultat : le modèle aligne des indices dispersés et améliore le signal utile à la prédiction du jeton suivant.

Rôle des embeddings et de l’encodage positionnel

Le texte est d’abord converti en vecteurs continus qui portent sens, morphologie et style. Au fil des couches, le modèle apprend des embeddings contextuels qui intègrent le voisinage lexical et la syntaxe. Ces représentations vivent dans des espaces vectoriels où directions et distances ont une signification opérationnelle pour la génération.

L’ordre des tokens ne va pas de soi pour un réseau, il est injecté par un schéma de positions. Avec l’encodage rotatif RoPE, les relations relatives sont conservées même quand la fenêtre s’allonge. Pour comparer tokens, phrases ou documents, la similarité cosinus sert de mesure pratique, utile en recherche sémantique et en RAG.

Architecture decoder‑only versus encoder‑decoder

Les transformeurs decoder‑only génèrent un token à la fois à partir de l’historique, alors que les modèles encoder‑decoder encodent l’entrée avant de décoder la sortie. Pour un texte libre, les premiers excellent en fluidité. Pour suivre strictement une consigne ou un document, les seconds donnent des sorties plus contrôlées.

Dans un projet de génération, le déroulé pratique inclut préparation, inférence et post‑traitement. Ce pipeline de génération s’appuie côté décodeur sur le masquage causal, tandis que l’encodeur capitalise sur la bidirectionnalité pour bâtir une représentation riche. Pour adapter un modèle à un domaine, l’apprentissage par transfert réduit les coûts et accélère la montée en performance.

À retenir : decoder‑only pour la génération ouverte rapide, encoder‑decoder quand la sortie doit suivre strictement une entrée structurée.

Pourquoi les modèles decoder‑only dominent la génération

Les décodeurs auto‑récursifs s’alignent naturellement sur la prédiction du prochain token. En production, ils réduisent la latence d’inférence grâce à un graphe compact, et leur simplicité architecturale facilite l’optimisation des kernels et du cache KV.

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Quand préférer une architecture encoder‑decoder

Pour résumer un lot d’e‑mails en points clés ou convertir des formulaires complexes, l’encodeur fige le sens avant décodage. Cette configuration excelle en traduction séquence‑à‑séquence et assure un alignement source‑cible robuste lorsque la structure ou l’ordre des segments diffèrent.

Pré‑entraînement sur corpus massifs et objectif next‑token

Les modèles apprennent en traitant des milliards de tokens pour anticiper la suite d’une séquence. Cette procédure s’appuie sur un objectif de langage formulé comme une probabilité conditionnelle, et sur des jeux hétérogènes issus du web, y compris une part issue de Common Crawl, de livres et de code divers.

  • Grands corpus web nettoyés et mélangés
  • Textes techniques, littéraires, code source et articles scientifiques
  • Masque causal et prédiction du prochain token
  • Ordonnancement des données et mélange adaptatif

Les performances croissent avec l’échelle de données, sous réserve d’un entraînement stable via AdamW, normalisation et régularisation. Pour limiter le surapprentissage, l’architecture applique une régularisation par dropout au sein des blocs attention et MLP, ce qui améliore la robustesse statistique pendant l’optimisation globale.

Sources de données et diversité des corpus

Les concepteurs combinent textes web, dépôts de code, revues scientifiques et ouvrages afin de couvrir des registres et styles multiples. Cette diversité vise une large couverture thématique comparable à des assemblages publics tels que The Pile, souvent complétés par des ensembles d’instructions synthétiques pour équilibrer formats et objectifs.

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Nettoyage, déduplication et filtrage de qualité

Les pipelines suppriment le spam, alignent les encodages et harmonisent les métadonnées avant l’entraînement. Pour réduire les biais et le bruit, on utilise la détection de duplicats, des classifieurs de toxicité, des scores de lisibilité et diverses heuristiques de qualité afin de retenir des documents informatifs et variés, sans surreprésentation anecdotique.

Ajustement fin et adaptation aux tâches réelles

Vous partez d’un modèle généraliste et vous le spécialisez avec des exemples représentatifs de votre métier. Sur des jeux annotés, il apprend les formats, les contraintes et le ton attendu. Pour accroître la capacité à suivre des consignes variées, on ajoute de l’instruction‑tuning, tout en mesurant l’alignement sur tâche et l’effet du fine‑tuning supervisé sur la robustesse.

Quand la mémoire GPU est limitée, vous conservez les poids d’origine et n’entraînez que des modules bas‑rang. Ces LoRA adapters se branchent dans l’attention et le MLP, réduisent les coûts, facilitent l’A/B testing, et autorisent plusieurs variantes spécialisées déployées en parallèle sur le même socle.

MéthodeObjectifDonnées requisesMétriques usuellesPoints de vigilance
Fine‑tuning superviséAdapter à une tâche précisePaires entrée‑réponseF1, exact match, BLEU, ROUGEBruit d’annotation, sur‑apprentissage
Instruction‑tuningSuivre des consignes variéesPrompts multi‑tâches, réponsesTaux de suivi d’instruction, utilitéQualité et diversité des consignes
LoRAAdapter avec peu de paramètresMêmes données que SFT/ITMêmes métriques que la tâcheChoix du rang, compatibilité couches
Évaluation continueSurveiller la dériveJeux de validation fixesCourbes temps réel, alertesReprésentativité des jeux de test

RLHF, DPO et autres techniques de préférences humaines

Le modèle génère des sorties plausibles, mais il faut les rapprocher des jugements humains. On recueille des comparaisons de réponses et l’on entraîne des modèles de préférences pour scorer les variantes. Ensuite, on optimise par renforcement avec feedback humain afin d’orienter le style, la sécurité et la concision selon vos critères.

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Des approches directes, comme DPO, suppriment le modèle de récompense et optimisent une politique apprise à partir de paires gagnant‑perdant. Ce cadre limite le sur‑ajustement, réduit l’effondrement de diversité et améliore la stabilité de l’entraînement, tout en restant compatible avec le contrôle par consignes et pénalités.

À retenir : quelques milliers de comparaisons humaines bien calibrées changent davantage le comportement qu’un grand volume de données brutes non triées.

Tokenisation BPE et gestion du vocabulaire

La tokenisation BPE segmente le texte en unités fréquentes pour limiter les mots inconnus et raccourcir les séquences. Dans les pipelines modernes, on combine des sous-mots avec SentencePiece et un vocabulaire partagé pour faciliter l’entraînement et l’inférence. Points pratiques :

  • Fusions guidées par la fréquence.
  • Segments stables entre corpus.
  • Moins d’unités hors vocabulaire.

Au niveau des octets, BPE reste agnostique aux langues et aux alphabets. L’encodage UTF‑8 assure une compatibilité fiable avec les émojis et les écritures non latines, ce qui renforce la couverture multilingue dans des scénarios réels. Un même modèle gère ainsi noms propres, chiffres, et variantes orthographiques sans réentraîner des composants annexes.

Contexte long, mémoire et efficacité de calcul

Étendre le contexte permet de traiter des contrats entiers, des journaux d’expériences ou des dépôts de code, avec une latence qui reste acceptable. Les modèles doivent conserver la cohérence des réponses et éviter la saturation mémoire lors d’inférences prolongées.

Dans ce cadre, des optimisations d’attention limitent le coût quadratique et améliorent l’efficacité sur de grandes fenêtres. Vous trouverez aussi FlashAttention pour réduire les accès DRAM, la quantification 4‑bit pour compresser les poids et accélérer l’I/O, ainsi que la parallélisation tensorielle afin de répartir finement les multiplications de matrices entre plusieurs GPU.

Note : une fenêtre 128k nécessite des caches KV de plusieurs dizaines de Go ; sans kernels optimisés ni quantification, les coûts d’inférence s’envolent.

Fenêtre de contexte et coût quadratique de l’attention

Augmenter la fenêtre donne plus de place aux documents, au code et aux historiques de dialogue. Dans la pratique, la longueur de séquence fait exploser travail et mémoire, car l’attention dense présente une complexité O(n²) qui double le coût lorsque la séquence double.

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Accélérations et compressions : FlashAttention, quantification, LoRA

Les accélérations récentes réorganisent les calculs pour maximiser l’occupation des SM et cacher la latence mémoire. En priorité, on réduit les allers‑retours vers la bande passante GPU, et l’on diminue la mémoire activations via checkpointing, quantification et LoRA à faible rang.

Parallélisation, GPU et gestion de la mémoire

Pour servir des modèles volumineux à faible latence, on combine répartition des lots, caches KV partagés et planifications efficaces. Au‑delà, le pipeline parallelism enchaîne les couches sur plusieurs nœuds, tandis que le sharding de paramètres répartit les poids et réduit la pression mémoire par GPU.

Évaluer un modèle : perplexité, MMLU et autres métriques

Évaluer un transformeur génératif pré‑entraîné exige des repères reproductibles et comparables. On regarde la probabilité qu’il assigne aux suites de tokens, puis la justesse sur des connaissances générales. C’est là que s’imposent la perplexité de langage pour la prédiction du prochain token, et les benchmarks MMLU qui couvrent 57 matières académiques avec des protocoles few‑shot.

Pour la génération conditionnelle, on complète ces vues par la qualité de sortie. Le score ROUGE mesure le recouvrement avec des références en résumé, BLEU sert la traduction, et BERTScore saisit le sens. Afin de fiabiliser l’estimation, on applique une validation croisée et des exécutions multi‑seeds.

MétriqueObjetTâches ciblesÉchellePoints de vigilance
PerplexitéCertitude de prédiction du token suivantModélisation du langagePlus bas est meilleurDépend du corpus; pas toujours corrélée à l’utilité en aval
MMLUExactitude moyenne multi‑domainesRaisonnement et connaissances0 à 100 %, plus haut est meilleur57 matières; comparer les mêmes réglages de few‑shot
ROUGE‑1/2/LChevauchement n‑grammes et LCSRésumé0 à 1, plus haut est meilleurFavorise la similarité lexicale, moins le sens
BLEUPrécision n‑grammes avec pénalité de longueurTraduction0 à 100, plus haut est meilleurPeu sensible aux paraphrases valides
BERTScoreSimilarité de plongements sémantiquesGénération conditionnelle0 à 1, plus haut est meilleurRéduit le biais lexical, dépend du modèle d’embedding
Exact MatchCorrespondance exacteQ/R extractive0 à 100 %, plus haut est meilleurNe tolère pas la reformulation
F1Moyenne précision/rappelClassification, Q/R0 à 100 %, plus haut est meilleurÉquilibre faux positifs et faux négatifs
Évaluation humaineJugement par annotateursDialogue, style, sécuritéÉchelles diversesIndispensable pour la qualité perçue et la sûreté

Usages concrets en entreprise et produits

Vous pouvez accélérer la production de rapports, notes de synthèse et réponses clients en pilotant des modèles sur vos gabarits. Les équipes marketing tirent parti de la génération assistée pour décliner des contenus multicanaux, tandis que le service client combine agents conversationnels et bases de connaissances pour réduire les délais de traitement et améliorer la cohérence des messages.

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Les fonctions juridiques et financières mettent en place de l’automatisation documentaire avec contrôle humain, et la data s’appuie sur l’extraction d’informations pour capter des signaux dans emails, PDF et CRM. Exemples de projets à impact rapide :

  • Classification de tickets
  • Résumé d’appels
  • Génération d’offres
  • Analyse de contrats

Ces cas se déploient avec métriques, seuils de confiance et journalisation afin d’auditer chaque réponse générée.

RAG pour données internes et recherche d’information

Un système RAG connecte vos documents privés au modèle pour produire des réponses sourcées, en citant les passages utilisés. Après ingestion et découpe, l’indexation vectorielle crée un espace sémantique, puis une récupération sémantique alimente le prompt avec les extraits pertinents, par exemple des politiques RH, des procédures IT ou des clauses contractuelles.

Assistants conversationnels, outils et appels de fonctions

Un assistant moderne peut raisonner, appeler des API, puis formuler une réponse finale ancrée sur l’action réalisée. Le function calling sélectionne la bonne API et lui transmet des arguments validés, tandis qu’une couche d’orchestration d’outils gère la planification, la gestion des erreurs et la sécurité, par exemple pour créer un ticket, vérifier un stock ou réserver une intervention.

Comparaison GPT et BERT : deux philosophies de modèle

GPT privilégie la génération séquentielle, tandis que BERT mise sur la compréhension fine. Le premier extrapole le prochain token, quand le second reconstruit des mots masqués, illustrant l’opposition auto‑régressif vs MLM. Cette différence influence l’usage, la formation et la façon d’évaluer les sorties.

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Sur les textes courts, BERT tire parti d’un pré‑entraînement bidirectionnel et d’un encodage contextuel riche, utile pour la classification, l’extraction d’entités ou le ranking. GPT excelle dans la rédaction, le résumé conditionné et le raisonnement étape par étape, des tâches en aval où la cohérence de longue portée et le contrôle du style comptent.

Sécurité, biais et atténuation des hallucinations

Réduire biais et dérives passe par plusieurs couches techniques et humaines. Avant diffusion, appliquez un filtrage de toxicité dynamique et contrôlez les sorties par politiques de refus. Les journaux d’exécution, l’audit par échantillonnage et la traçabilité des versions facilitent l’analyse d’incidents et la remédiation rapide.

Face aux attaques par contenu hostile, durcissez les invites et neutralisez la prompt injection via la séparation des canaux et l’isolation des outils. Déployez des garde‑fous de sécurité au niveau API et UI, puis mettez à jour vos protocoles d’évaluation des risques avec tests adverses et surveillance continue.

À retenir : l’alignement par préférences humaines réduit les réponses toxiques, mais un monitoring en production reste nécessaire pour limiter hallucinations et fuites d’outils.

Déploiement et coûts d’inférence au quotidien

Mettre en production un grand modèle demande un service résilient, du monitoring et une orchestration adaptée aux pics. La qualité perçue dépend du temps d’attente, du batch dynamique et du streaming de tokens, tandis que la latence d’inférence se joue aussi sur la taille de séquence et l’allocation GPU choisie pour la concurrence et la quantification.

Réduire la facture passe par le cache KV, un dimensionnement par file d’attente et un routage vers la meilleure taille de modèle. L’autoscaling multi‑nœuds et le sharding favorisent la mise à l’échelle horizontale pour lisser la charge. Les budgets se stabilisent en suivant les coûts opérationnels par requête, avec A/B testing, réservation d’instances et consolidation des lots.

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35 réflexions au sujet de “À quoi sert un transformeur génératif pré-entraîné et comment il produit du texte ?”

  1. J’adore l’idée d’utiliser les transformateurs génératifs pré-entraînés pour améliorer les chatbots. Ça rendra les conversations avec les machines beaucoup plus agréables.

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  2. Ces transformateurs génératifs pré-entraînés sont vraiment révolutionnaires… pour générer du texte inutile !

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  3. Je ne suis pas convaincu de l’utilité des transformateurs génératifs pré-entraînés. Ils ne font que recréer du langage humain, sans vraiment le comprendre. Quel est l’intérêt réel de cette technologie ?

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  4. Je suis d’accord avec ChatonCurieux. Les transformateurs génératifs peuvent sembler impressionnants, mais ils sont encore loin de pouvoir comprendre le langage humain comme nous. Ce ne sont que des machines qui produisent du texte sans véritable compréhension.

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  5. Les transformateurs génératifs pré-entraînés ont peut-être des capacités impressionnantes, mais je crains qu’ils ne soient pas encore suffisamment sécurisés. Il y a toujours des risques de biais, de réponses inappropriées et même de manipulations malveillantes. Nous devons être prudents dans leur utilisation.

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  6. Les transformateurs génératifs pré-entraînés sont vraiment incroyables ! Leur capacité à générer du texte qui ressemble à celui écrit par un humain est impressionnante.

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  7. Les applications des transformateurs génératifs pré-entraînés sont vraiment vastes. Je suis curieuse de voir ce que l’avenir nous réserve avec GPT-4.

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  8. Je suis fascinée par la manière dont les transformateurs génératifs pré-entraînés sont capables de comprendre le contexte et de générer du texte cohérent. C’est une avancée majeure dans le domaine de l’IA.

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  9. Je suis sceptique quant à l’utilisation des transformateurs génératifs pré-entraînés dans la traduction automatique. Est-ce qu’ils peuvent vraiment produire des traductions naturelles et fluides ?

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  10. Je suis fasciné par l’évolution des transformateurs génératifs pré-entraînés. Ils ouvrent la voie à de nombreuses applications utiles dans le domaine de l’IA.

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  11. Les transformateurs génératifs pré-entraînés ont une architecture de réseau neuronal intéressante avec leur utilisation de l’attention auto-régressive. Cela permet de générer du texte cohérent et de qualité.

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  12. Ces transformateurs génératifs pré-entraînés ne sont que des machines, elles ne peuvent pas comprendre réellement le langage humain.

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  13. Je suis d’accord avec Lucie. Je pense que cette technologie va rendre les humains obsolètes. Nous devrions nous méfier de ce genre de progrès.

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  14. Je suis sceptique quant à l’utilisation des transformateurs génératifs pré-entraînés dans le domaine de l’IA conversationnelle. Les réponses générées sont-elles réellement pertinentes et sensées, ou simplement basées sur des modèles pré-existants ?

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  15. Je ne suis pas convaincu que les transformateurs génératifs pré-entraînés soient réellement capables de comprendre le langage. Ils ne font que générer du texte en se basant sur des modèles statistiques. Ce n’est pas la même chose que la compréhension humaine.

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  16. C’est fascinant de voir à quel point les transformateurs génératifs pré-entraînés ont évolué au fil du temps. Ils ouvrent tellement de possibilités dans le domaine de l’IA.

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  17. Je ne suis pas convaincu par les transformateurs génératifs pré-entraînés. Ils peuvent générer du texte qui semble correct, mais cela ne signifie pas qu’ils comprennent réellement le langage humain.

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  18. Je pense que les transformateurs génératifs sont un pas en avant dans le domaine de l’IA, mais qu’il reste encore beaucoup de travail à faire. Ils peuvent être utiles dans certaines applications, mais ils ne remplacent pas la créativité et la compréhension humaine.

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  19. Les applications des transformateurs génératifs pré-entraînés sont vraiment intéressantes. J’aimerais voir comment ils peuvent être utilisés dans d’autres domaines comme l’écriture technique ou l’assistance visuelle.

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  20. C’est génial, maintenant on peut avoir des chatbots qui répondent à côté de la plaque mais de façon cohérente !

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  21. Les transformateurs génératifs pré-entraînés ont vraiment révolutionné le domaine de l’IA. Leur capacité à générer du texte de manière quasi-humaine est impressionnante.

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  22. J’ai hâte de voir ce que GPT-4 va apporter. Les améliorations promises par OpenAI semblent très prometteuses. Je suis impatient de découvrir le futur des transformateurs génératifs pré-entraînés.

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  23. Je suis fasciné par les possibilités offertes par les transformateurs génératifs pré-entraînés. J’ai hâte de voir comment cette technologie va évoluer dans le futur.

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  24. Les transformateurs génératifs pré-entraînés sont vraiment incroyables ! J’ai hâte de voir ce que GPT-4 apportera en termes d’améliorations.

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  25. Les transformateurs génératifs pré-entraînés sont intéressants, mais il faut faire attention à leur utilisation. Ils peuvent être très utiles, mais ils peuvent aussi être utilisés de manière abusive ou pour propager de fausses informations.

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  26. Les transformateurs génératifs pré-entraînés peuvent générer du texte qui semble humain, mais ils sont loin de pouvoir réellement comprendre le langage. C’est plus une illusion qu’autre chose.

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  27. Je ne suis pas convaincu de l’utilité de ces transformateurs génératifs. Ils ne font que reproduire du texte sans réellement comprendre ce qu’ils écrivent. C’est juste de la copie sans véritable réflexion.

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  28. Les transformateurs génératifs pré-entraînés sont un véritable progrès dans le domaine de l’IA. Le fait qu’ils soient capables de comprendre le contexte et de générer du texte cohérent est vraiment fascinant. J’ai hâte de voir comment ces modèles vont continuer à évoluer.

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  29. Je pense que les transformateurs génératifs pré-entraînés sont juste un autre exemple de la technologie qui nous éloigne de notre humanité. Nous devrions nous concentrer sur notre propre créativité et notre propre compréhension du langage plutôt que de laisser des machines le faire à notre place.

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  30. Les transformateurs génératifs pré-entraînés ont peut-être leurs applications, mais je doute qu’ils puissent vraiment comprendre le contexte dans lequel ils génèrent du texte. Il y a encore beaucoup de travail à faire dans ce domaine.

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  31. Oui, oui, ils redéfinissent notre relation avec la technologie… en nous faisant perdre notre temps avec des réponses automatiques déconnectées de la réalité.

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  32. Les transformateurs génératifs pré-entraînés sont-ils vraiment si utiles que cela ? J’ai du mal à voir comment ils peuvent être utilisés dans des applications pratiques.

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  33. Les transformateurs génératifs pré-entraînés peuvent générer du texte qui semble cohérent, mais est-ce que cela signifie qu’ils comprennent réellement ce qu’ils produisent ?

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  34. Je ne suis pas convaincu de l’utilité de ces transformateurs génératifs pré-entraînés. Est-ce vraiment nécessaire de créer des machines capables de générer du langage humain ?

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